PRESENTATION DE JESUS AU TEMPLE

PRESENTATION DE JESUS AU TEMPLE

2 Février

La fête de la présentation du Seigneur et la purification de la très Sainte Vierge[1]

1. Commentaire biblique

La loi du Seigneur ordonnait aux femmes d’Israël, après leur enfantement, de demeurer quarante jours sans approcher du tabernacle ; après l’expiration de ce terme, elles devaient, pour être purifiées, offrir un sacrifice. « Toute femme, ayant conçu et enfanté un garçon, disait la loi des relevailles, sera (légalement) impure pendant sept jours. Apres la circoncision de l’enfant, elle se tiendra encore à la maison durant trente-trois jours. Elle ne touchera à aucune chose sainte et elle n’ira pas au sanctuaire. Dès que le temps de la purification sera accompli, elle présentera au prêtre, à l’entrée du Tabernacle, un agneau d’un an en holocauste et un jeune pigeon ou une tourterelle en sacrifice pour le péché. Si elle n’a pas de quoi se procurer un agneau (à cause de sa pauvreté), qu’elle offre deux tourterelles ou deux jeunes pigeons. Le prêtre fera pour elle l’expiation et elle sera pure » (Lv 12, 28). Si la mère avait mis au monde une fille, ces chiffres étaient doublés ; la purification n’avait lieu qu’au bout de 80 jours (Lv 12, 8).

Un second commandement divin déclarait tous les premiers-nés propriété du Seigneur, et prescrivait la manière de les racheter. Le prix de ce rachat était de cinq sicles, qui, au poids du sanctuaire, représentaient chacun vingt oboles (cf. Nom 18, 16). Les premiers-nés appartenaient au Seigneur au double titre de prémices et de chefs de famille. Dans les sociétés patriarcales, les chefs de famille exercent une sorte de sacerdoce ; c’est à eux que revient le droit d’offrir des sacrifices et le devoir de veiller au maintien du culte divin. Il est vrai qu’en Israël la tribu sacerdotale de Lévi leur avait été substituée, mais ils n’en continuaient pas moins à être consacrés à Dieu et ils devaient se racheter à prix d’argent. Le paiement du rachat, dû dès le trentième jour après la naissance, incombait au père de l’enfant ; mais il n’était pas nécessaire pour cela de se rendre au Temple et l’on pouvait s’acquitter n’importe où (Nom 18n 15-16).

Voilà pourquoi l’Eglise a toujours eu l’habitude d’associer à cet épisode la consécration totale de ses fils religieux et pour la même raison offrir en Jésus-Christ le modèle suprême de la vie consacrée[2].   

Joseph est porteur de l’humble offrande que la mère doit présenter au prêtre. Leur pauvreté ne leur permet pas d’acheter un agneau; et d’ailleurs n’est-il pas l’Agneau de Dieu qui efface les péchés du monde, ce céleste enfant que Marie tient dans ses bras ?

Un vieillard vivait à Jérusalem, et sa vie touchait au dernier terme ; mais cet homme de désirs, nommé Siméon, n'avait point laissé languir dans son cœur l’attente du Messie. De lui la Parole de Dieu nous donne des caractéristiques extraordinaires : (a) il était un homme « juste et religieux » l’un des éloges plus beau des Saintes Ecritures. (b) il « espérait fermement la prochaine venue du consolateur d’Israël », espérance centrée sur la figure du Messie. (c) « L’Esprit Saint était sur lui »,  en effet il avait reçu du Saint-Esprit l’assurance de ne pas mourir avant d’avoir vu le Christ. (d) Il était un prophète, notamment en ce qui concerne les jours de la passion du Seigneur.    

Au moment où Marie et Joseph montaient les degrés du Temple, portant vers l’autel l’enfant de la promesse, Siméon se sent poussé donc intérieurement par la force irrésistible de l’Esprit divin ; ses yeux inspirés ont bientôt reconnu la Vierge féconde prophétisée par Isaïe ; et son cœur vole vers l’enfant qu’elle tient dans ses bras. Siméon prenant dans ses bras le divin enfant donna cours à son allégresse dans ce cantique d’action de grâces que nous connaissons aujourd’hui avec les mots initiales en latin : « Nunc dimitis ».

Ce cantique est l’un de plus beau de la Bible. C’est un cantique de préparation pour la bonne mort et un même temps un acte de remercîments à Dieu qui accomplit ce qu’il promet.    

Les prophéties de Siméon. Elles font référence à l’enfant et à sa mère : Voici que cet enfant provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël. Il sera un signe de contradiction – et toi, ton âme sera traversée d’un glaive – : ainsi seront dévoilées les pensées qui viennent du cœur d’un grand nombre. La destinée du Sauver est en effet de mettre à nu le secret des cœurs et de révéler les bonnes et les mauvaises dispositions des hommes, c’est par leur fate, occasion de chute pour ceux qui refuseront de le recevoir, mais source de gloire pour tous ceux qui l’accueilleront : car s’il veut les sauver, il ne veut pas les sauver malgré eux ni sans eux.

Mais aussi sa prophétie rattache intimement les douleurs de Marie aux persécutions dont son Fils sera objet. La passion de Jésus et la compassion de Marie vont toujours de pair et ont leur point culminant au Clavaire. Les douleurs de Marie auront pour cause principale pas seulement les souffrances de Jésus sur la croix, mais aussi le fait de voir à son fils converti en cause de contradiction et de scandale et surtout voir que son peuple et en quelque sorte, tous les hommes devenus ses enfants, refuserons d’accepter Jésus leur sauver. Mais comme Jésus sauve le monde par ses souffrances, Marie doit au glaive qui transperce son cœur d’être associée à l’œuvre de rédemption.   

Tout à coup survient, attirée aussi par le mouvement du divin Esprit, la pieuse Anne, fille de Phanuel, illustre par sa piété et vénérable à tout le peuple par son grand âge. Les deux vieillards, représentants de la société antique, unissent leurs voix, et célèbrent l’avènement fortuné de l’enfant qui vient renouveler la face de la terre, et la miséricorde de Dieu qui, selon la prophétie d'Aggée, dans ce lieu, au sein même du second Temple, donne enfin la paix au monde[3].

2. Origine de la fête  

De savants hommes, au nombre desquels on compte le docte Henschenius, dont Benoît XIV partage le sentiment, inclinent à donner une origine apostolique à cette solennité.

La tradition orientale célèbre depuis au moins le IVème siècle la fête de la Présentation de Jésus au Temple, ou plus exactement, en grec, sa ‘Rencontre (Ὑπαπάντη) avec Siméon et Anne’. Elle apparaît en premier dans le rite de l’Église de Jérusalem[4]. À l'origine elle se célébrait le 14 février, puisque Jérusalem célébrait la nativité de Jésus, à cette époque et jusqu'au milieu du VIème siècle, le 6 janvier. En effet, on trouve ainsi des homélies sur la fête de Methodius de Patara (+ 312)[5], du pseudo-Cyrille de Jérusalem[6], du pseudo-Grégoire de Nyssa (+ 400)[7] ou de Saint Jean Chrysostome (+ 407)[8].

Des documents arméniens, géorgiens et grecs éclairent les circonstances historiques dans lequel s’est réalisé le passage du 14 au 2 février[9]. De toute façon la Nativité était, en Occident, fêté le 25 décembre depuis, au moins, sa fixation en l’an 354 par le pape Libère. Quarante jours après, cela tombe automatiquement le 2 février. Dans la partie orientale de l’empire romain, Justin institue la fête de l’hypapante (la rencontre) le 2 février 521.

En ce qui concerne le nom de la fête, l’Eglise Romaine la comptait jusqu’à 1969 entre les fêtes de la sainte Vierge, pour cela on appelait cette célébration « Purification de Marie ». Elle concluait, quarante jours après la Nativité du Seigneur, le temps liturgique de Noël.

La raison du nom de cette fête selon Dom Guéranger était la suivante :

« Sans doute, l’enfant Jésus est offert dans le Temple et racheté ; mais c’est à l’occasion de la Purification de Marie, dont cette offrande et ce rachat sont comme la conséquence. Les plus anciens Martyrologes et Calendriers de l’Occident donnent cette fête sous le titre qu’elle conserve aujourd'hui ; et la gloire du Fils, loin d’être obscurcie par les honneurs que l’Eglise rend à la Mère, en reçoit un nouvel accroissement, puisque lui seul est le principe de toutes les grandeurs que nous révérons en elle ».

Cependant, l’actuel directoire sur la piété populaire revenant sur l’ancien nom de la fête, tient à remarquer le suivant :

« La célébration du 2 février doit conserver son caractère populaire, tout en se conformant pleinement au sens authentique de la fête. Il ne serait donc pas juste qu’en célébrant la Présentation du Seigneur, la piété populaire obscurcisse le sens christologique de cette fête, en insistant presqu’exclusivement sur ses aspects mariologiques. Le fait qu’elle doive ‘être considérée [...] comme une mémoire conjuguée du Fils et de la Mère’ ne peut avoir pour conséquence de favoriser une telle inversion de perspective »[10].

3. La bénédiction des cierges

L’Eglise pratique, en ce jour, la bénédiction solennelle des Cierges avec une procession. Pourquoi ?

L’origine de cette cérémonie est assez difficile à assigner d’une manière précise. Selon Baronius, Thomassin, Baillet, etc., elle aurait été instituée, vers la fin du Vème siècle, par le Pape saint Gélase (né d’une famille tunisienne), pour donner un sens chrétien aux restes de l’antique fête des « Lupercales » célébrée en février, dont le peuple de Rome avait encore retenu quelques usages superstitieux[11].

Innocent III, dans un de ses Sermons sur la fête de la Purification, enseigne que l’attribution de la cérémonie des Cierges au deux février est due à la sagesse des Pontifes romains. Ainsi nous pouvons adopter donc le sentiment de D. Hugues Ménard, Rocca, Henschenius et Benoît XIV, qui tiennent que la fête antique connue en février sous le nom d’Amburbalia, et dans laquelle les païens parcouraient la ville en portant des flambeaux, a donné occasion aux Souverains Pontifes de lui substituer un rite chrétien qu’ils ont uni à la célébration de la fête dans laquelle le Christ, Lumière du monde, est présenté au Temple par la Vierge-mère.

Le mystère de cette cérémonie a été fréquemment expliqué par les liturgistes depuis le VIIème siècle.

Selon saint Ives de Chartres, dans son deuxième Sermon sur la fête de la Présentation, la cire des cierges, formée du suc des fleurs par les abeilles, que l’antiquité a toujours considérées comme un type de la virginité, signifie la chair virginale du divin enfant, lequel n’a point altéré, dans sa conception ni dans sa naissance, l’intégrité de Marie. Dans la flamme du cierge, le saint Evêque nous apprend à voir le symbole du Christ qui est venu illuminer nos ténèbres.

Saint Anselme, dans ses Enarrations sur saint Luc, développant le même mystère, nous dit qu'il y a trois choses à considérer dans le Cierge : la cire, la mèche et la flamme. La cire, dit-il, ouvrage de l’abeille virginale, est la chair du Christ ; la mèche, qui est intérieure, est l’âme ; la flamme, qui brille en la partie supérieure, est la divinité.

Il est nécessaire aussi que les fidèles sachent que les cierges bénis au jour de la Chandeleur, car tel est le nom populaire de la fête de la Présentation du Seigneur, emprunté à la cérémonie même dont nous parlons; que ces cierges, disons-nous, sont bénis, non seulement pour servir à la procession, mais encore pour l’usage des chrétiens qui, en les gardant avec respect dans leurs maisons, en les portant avec eux, comme un souvenir de l’immortalité que le Christ nous a méritée, et comme un signe de la protection de Marie.

4. La procession des cierges

Remplie d’allégresse, illuminée de ces feux mystérieux, entraînée, comme Siméon, par le mouvement de l’Esprit-Saint, la sainte Eglise se met en marche pour aller à la rencontre de l’Emmanuel. L’Eglise invite donc les fidèles à participer vivement de cette procession : « ils participent volontiers à la procession qui évoque l’entrée de Jésus dans le Temple, et en premier lieu la rencontre du Fils avec Dieu le Père, dans la demeure duquel il pénètre pour la première fois, ainsi que sa rencontre avec Siméon et Anne. En Occident, cette procession, dont le caractère pénitentiel s’était substitué à l’immoralité des défilés païens, fut marquée par l’introduction du rite liturgique de la bénédiction des cierges, allumés en l’honneur du Christ « lumière pour éclairer les nations » (Lc 2, 32)[12]

Saint Bernard, dans son premier sermon pour la Fête de la Présentation, dit:

« Aujourd’hui la Vierge-mère introduit le Seigneur du Temple dans le Temple du Seigneur ; Joseph présente au Seigneur, non un fils qui soit le sien, mais le Fils bien-aimé du Seigneur, dans lequel il a mis ses complaisances. Le juste reconnaît Celui qu'il attendait; la veuve-Anne l’exalte dans ses louanges. Ces quatre personnes ont célébré pour la première fois la procession d’aujourd’hui, qui, dans la suite, devait être solennisée dans l’allégresse de la terre entière, en tous lieux, et par toutes les nations. Ne nous étonnons pas que cette procession ait été si petite; car Celui qu’on y recevait s’était fait petit. Aucun pécheur n’y parut: tous étaient justes, saints et parfaits».

Marchons néanmoins sur leurs traces. Allons au-devant de l’Epoux, comme les vierges sages, portant dans nos mains des lampes allumées au feu de la charité. Conduits par la foi, éclairés par l’amour, nous le rencontrerons, nous le reconnaîtrons, et il se donnera à nous.

5. L’ancien rite de « relevailles »

« La piété populaire est sensible à l’événement, à la fois délibéré et mystérieux, de la conception et de la naissance d’une vie nouvelle. Les mères chrétiennes, en particulier, établissent sans peine une relation entre, d’une part, la maternité de la Vierge Marie, qui est la toute pure et la mère du Corps mystique, et, d’autre part, leur propre maternité, tout en étant conscientes de certaines différences importantes dues au caractère unique de la conception et de l’enfantement de Marie: de fait, leur maternité s’inscrit aussi dans le plan de Dieu et elles ont enfanté les futurs membres de ce même Corps mystique. Cette intuition des mères chrétiennes, ainsi que leur désir d’imiter le geste accompli par Marie (cf. Lc 2, 22-24), ont inspiré le rite des relevailles, dont quelques éléments reflétaient une vision négative de certains aspects de l’accouchement » (Directoire n. 121).

Les relevailles, était une cérémonie dans l’Eglise qui consistait à purifier une jeune mère, qui était considérée comme souillée par le fait d’avoir accouché, 40 jours après la naissance de son enfant s’il s’agit d’un garçon et 80 jours s’il s’agit d’une fille (en suivant la tradition de l’Ancien testament). Elle avait pour but de réintégrer l’accouchée, qui n’avait pu se rendre à l’église pendant sa période de quarantaine, dans le cercle des fidèles et auprès de Dieu. Ce rituel présentait plusieurs variantes en fonction des régions d’Europe, notamment en France où il était particulièrement répandu. Le mot “relevailles” en lui-même provient du fait que la femme se “relève” après une période de repos pour rendre grâce à Dieu.

Après le Concile Vatican II et avec le Rituale Romanum rénové ce rite a été supprimé et on prévoit tout simplement la bénédiction d’une mère, soit avant, soit après l’enfantement; il faut toutefois noter que la bénédiction postérieure à l’accouchement ne peut être donnée que dans le cas où la nouvelle mère n’a pas pu être présente à la cérémonie du baptême de son enfant.

« Il est néanmoins très important, rappel le directoire pour la piété populaire, que les mères et leurs proches parents, en demandant de telles bénédictions, se conforment aux intentions de la prière de l’Église, c’est-à-dire qu’elles aient lieu dans une communion de foi et de charité, et dans la prière, afin que l’attente de l’enfant s’effectue dans la joie (bénédiction avant l’enfantement) et avec le désir de rendre grâces à Dieu pour le don reçu de lui (bénédiction après l’enfantement).

P. Silvio Moreno, IVE

 

 

 

[1] Nous suivrons les commentaires bibliques de Prat, Ferdinand, Jésus-Christ ; Fuentes, Miguel, Evangelio segun San Lucas. Les indications liturgiques de Dom Géranguer, L’année liturgique et le Directoire pour la piété populaire.

[2] Mais aussi le directoire sur la piété populaire explique que « Dans certaines Églises locales, le 2 février est devenu la fête de ceux qui se consacrent au service du Seigneur et de leurs frères dans les diverses formes de la vie consacrée; cette signification particulière provient de la valorisation de certains éléments du récit évangélique de la fête de la Présentation du Seigneur (Lc 2, 22-40), comme, par exemple, l’obéissance de Joseph et de Marie à la Loi du Seigneur, la pauvreté de ces saints époux et la virginité de la Mère de Jésus » (n. 122).

[3] L’angle nord de la cour du Temple à l’entrée des Écuries de Salomon abrite une petite pièce rectangulaire nommée « Sidna Issa » (« Notre Seigneur Jésus »). Selon la tradition, c’est l’endroit où la Vierge Marie coucha Jésus-Christ dans un berceau en bois après qu'il a été présenté au Temple. (cf. http://www.templemount.org/solstables.html).

[4] Cf. Voyage d’Égérie, (381-384). Elle affirme que des festivités ont lieu à Jérusalem quarante jours après l’Epiphanie (la naissance du Christ étant alors parfois célébrée à cette date en orient) en l’honneur de la Présentation au Temple : « Sane quadragesimae de epiphania ualde cum summo honore hic celebrantur. Nam eadem die processio est in Anastase, et omnes procedunt et ordine suo aguntur omnia cum summa laetitia ac si per pascha. Praedicant etiam omnes presbyteri et sic episcopus semper de eo loco tractantes euangelii, ubi quadragesima die tulerunt Dominum in templo Ioseph et Maria et uiderunt eum Symeon uel Anna prophetissa, filia Fanuhel, et de uerbis eorum, quae dixerunt uiso Domino, uel de oblatione ipsa, qua optulerunt parentes. Et postmodum celebratis omnibus per ordinem, quae consuetudinis sunt, aguntur sacramenta et sic fit missa » (ch. 26).

[5] De Simone et Anna quo die Dominico in templo occurrerunt ac de sancta Deipara, in Patrologiæ Græcæ vol. 18, p. 347-381.

[6] Pseudo-Cyrille de Jérusalem, Homilia de Occursu Domini in Patrologiæ Græcæ vol. 33, p. 1183-1204.

[7] De Occursu Domini, de deipara Virgine et de justo Simeone, in Patrologiæ Græcæ vol. 46 pp. 1152-1182.

[8] Saint Jean Chrysostome, Monitum – Ad Homiliam in Occursum Christi, De Occursu D. N. Jesu Christ deque depipara et symeone oratio in Patrologiæ Græcæ vol. 50, p. 807-811.

[9] M. van Esbroeck, La lettre de l’empereur Justinien sur l’Annonciation et la Noël en 561, dans « Analecta Bollandiana », 86 (1968), 351-371; Barsabée de Jérusalem. Sur le Christ et les Églises, dans « Patrologia Orientalis », 41 (1982), p. 159-160; La Lettre de Justinien pour la fête de l’Hypapante en 562, dans « Analecta Bollandiana », 112 (1994), 65-84.

[10] Directoire sur la piété populaire, n. 122.

[11] Chez les Romains, on fêtait les Lupercales aux environs du 15 février, fêtes inspirées de Lupercus, dieu de la fécondité et des troupeaux et qui faisait allusion à la purification.

[12] Directoire sur la piété populaire, n. 123.

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